Passera-t-on de la surproduction de vin à la surcorrection par l’arrachage de vigne ? C’est le paradoxe du moment dans la filière vin ! S’il y a bien un consensus, global à défaut d’unanime, sur la nécessité d’arracher les parcelles viticoles sans rentabilité et de permettre un départ aidé, à défaut de digne vu l’aide évoquée de 4 000 €/ha, à ceux en fin de carrière ou à bout de nerfs face à la crise. Mais on entend monter la crainte